Cela étant...

Il ne fait aucun doute qu'il existe un monde invisible. Cependant, il est permis de se demander à quelle distance il se trouve du centre-ville et jusqu'à quelle heure il est ouvert.

Woody Allen

Ma liberté de tancer

Dessiné par Zéphirin & Binje

TRÔNIC INC
Qu'est ce qu'on rigole !"

"CULTURE TOI !" Rubrique déconstructiviste par Dorothée Par Cœur et JP Trônic

BARBÎLTRE HUMILIÉE PAR MADEMOISELLE D’UNE FORCE

Le violent affrontement qui a opposé un talon aiguille corse à Krên, le mari de Barbîltre, ce samedi à la sortie des Bains, a rapidement tourné au désavantage du latex symbol qui s’est fait broyé les allibofis d’un coup de talon rageur.

Après avoir démembré Barbîltre et jonglé très habilement avec sa tête en l’air, la propriétaire du pied, mademoiselle D’Une Force, par ailleurs secrétaire personnelle de Jean-Pôl Trônic a déclaré : “Qu’est-ce qu’on rigole !” avant de s’engouffrer dans une limousine rose et de disparaître en faisant chanter la gomme et le béton.

SPAGGIARI SE MOUILLE

Du 7 au 9 mai, à Paris-Bercy, le célèbre ballet de la palme en fonte de Toulon
donnera un spectacle original, associant le travail aquatique réputé de ses
plongeuses comiques et de leurs palmes farceuses avec l’art de la science du
labyrinthe en chalumeau que pratiquera Albert Spaggiari, le célèbre plombier volant.

“Nos conceptions de l’oxygène et de l’apesanteur sont les mêmes” dit l’artiste. Le ballet sera accompagné sous l’eau, par l’orchestre philharmonique des pétomanes symphoniques.

PAUL MOODUGLAN Ô CINOCHE

Paul Mooduglan fait des infidélités à Machins, Trucs & Bidules. Le comédien quitte le tournage de la sous merde télévisuelle que diffuse France 2 durant plusieurs semaines afin de participer à un caroussel-barbecue qui se tourne à New York. Ce qui est d’un intérêt limité quand on sait ce que l’on sait.

CROISSANTS ALCOOLS

La très... Enfin Axelle Red ( dont le dernier album : Pas Des Briques, en a, à nouveau fait chier plus d'un ), vient de décrocher le premier rôle, celui d'un gâteau aussi sec que Bulgare bien que bourré à la vodka dans Titanic 13 ou Le Petit Déjeûner.

C'est ainsi qu'elle donnera sa réplique en cire à qui voudra bien la fondre. On parle même d'Isabelle Adjani pour tenir d'une seule main, le rôle du bol de lait ( froid, bien sûr ) et de Garou dans le rôle du croissant ordinnaire mais qu'aurait voulu être au beurre.

CULTURE TOI PART II
La suite en version audio en cliquant au dessus

( extrait de l'émission MAIS OUAIS ! feat : Dorothée Par Cœur, Grobil, Prof Vince T. & Jean Pôl Trônic )


MADONNA & WILFRIED

Madonna vient de proposer le rôle principal de "Fouff In Da Jungle" à Wilfried Phasme ainsi qu’un chèque de 25 millions de kilodollars. Productrice toxicomane, Madonna n’oublie pas à l’occasion, de se prendre pour une actrice. La chanteuse a demandé à son ancien mari Bob ( dit : "l'âne ), d’être son partenaire. Elle incarnerait une concierge unijambiste hermaphrodite, amoureuse d’un mime-tronc transformiste et Bob ( dit : "l'âne ) serait son amant. Wilfried Phasme camperait lui, sur le parking du Formule 1 de
Garches-les-Gonesses.


ET MERDE...

Après C'est Mon Choix, son show-malodorant racoleur et vulgaire, Machine, Là dont on arrive (par bonheur toujours pas) à se souvenir du nom, serait sur le point de nous vomir : C'est Mon Doigt, un show-malodorant racoleur et vulgaire...

Au delà de la charge de mise en relation...

"Bonjour, je suis Laurent Delmas de Bob Dylan... Je vous appelle pour vous parler de nos avantages... Vous connaissez Bob Dylan...?"
Laurent Delmas De Bob Dylan






TRÔNIC INC
"Qu'est-ce qu'on rigole !"

Aujourd'hui c'est : "4 fromages" !

"La vie est ce qu'elle est. Alors, pour me distraire, j'aime observer les cancrelats..."

Slavomir Mrozek




TRÔNIC INC
"Qu'est-ce qu'on rigole !"

Poussez-vous ! J'ai quelque chose d'intéressant à dire !

Et là, j'enchaîne ! Tout en souplesse du bassin et en décontraction des membres inférieurs par :


Elle s’appelait Rosalûtre...

Elle était né à 0slo, elle avait la beauté violente, le charme sournois, le verbe fleuri, elle avait l’esprit vraiment large. Elle était tout ce qu’une femme peut rêver d’être dans un magazine en couleurs, sauf qu’elle s’appelait Rosalûtre et ça, personne ne le lui envoya jamais dire.

Elle s’appelait Rosalûtre... elle sentait sous les bras, et d’ailleurs pas que sous les bras. Elle fleurait bon l’amour en ville, elle avait une haleine de tigresse, fière de ses millions de glandes sudoripares, elle sentait fort et de partout. C’était une extase olfactive, un feu d’artifice hormonal, un paradis pour les cloisons, un Eldorado du sinus, effluves tout en suggestions. Sa promiscuité rendait les hommes fous, sa présence était enivrante. Elle était le comble de l’instinct du mâle. Elle n’était qu’un cri primal, un appel à la reproduction de masse, une insulte à l’impuissance, un désespoir de jeune puceau. Elle s’appelait Rosalûtre... Elle disait...

- Ho darling, sais-tu que dans nos corps sont cachés trois millions de connexions olfactives invisibles appelées glandes sudoripares ?

- Non... mais est-ce que tu peux te foutre à poil s’te-plaît ? Que je lui répondais... Alors elle disait :

- Sait-tu que ces connexions s’échangent des amabilités en langage codé, comme autant de messages chimiques ? Lesquels agissent directement sur nos stocks d’hormones et sur nos comportements sexuels en particulier ?

- Non, mais si tu pouvais te désaper rapide, ça m’arrangerait un peu. Que je lui répondais... Alors elle disait :

- Figure-toi que c’est aussi l’une des facultés que nous partageons avec les abeilles et les éléphants !

- Bzzzzzz...

- C’est marrant non ?

- Pas tellement. Que je lui répondais. Alors elle disait :

- Et je suppose que tu n’es pas du style à savoir que “ des produits du corps humain peuvent réguler un mécanisme neuro-hormonal chez d’autres humains, sans être consciemment perçus comme des odeurs et, que nous avons le potentiel de communiquer phéromonalement “. *

- Non... je ne suis effectivement pas du style... mais si tu pouvais un peu la fermer et dégrafer ton soutif jj...

- Ho darling, humecte mes glandes apocrines !

Elle s’appelait Rosalûtre. Elle n’avait pas que des organes génitaux. Elle avait aussi des copines. . Je me dit qu’après tout, une “ nuit-d’hygiène-sexuelle-avec-une-inconnue-m’invitant-à-la-niquer-chez-elle-en-buvant-du-champagne “ ne pouvait pas me faire de mal. En chemin, je me demandai laquelle de mes grandes spécialités, j’allais bien pouvoir lui dévoiler... le coup du pivot de la joie ? Ou celui de la pompe à essence ? À moins que je n’opte pour la descente du créateur...

Deux heures plus tard, nous sirotions du Dom Pé dans son jacuzzi rose en parlant mécanique quantique. Je terminais à peine ma troisième coupe quand le système de création des remous tomba en panne. Après un échange de regards stupéfaits, je remplis mon verre et entendis comme un glouglou, tandis que Priscilître me regardait niaisement. Sans doute la fin de la panne me dis-je, en incitant ma compagne (qui me regardait toujours, et de plus en plus niaisement ) à trinquer pour fêter cette bonne nouvelle qui n’en était pas une. C’est à l’odeur que je compris que ce n’était pas la résurrection du système de remous mais la perfide Priscilître, qui avait pété dans le jacuzzi. D’où cet air d’une insoutenable niaiserie qu’elle continuait d’afficher. Elle s’appelait Pricilître, c’était la copine de Rosalûtre et elle s’y connaissait en mécanique quantique. Elle disait :

- J’ai lu dans le journal qu’un grand savant français avait déclaré, je cite ; la physique de l’infiniment petit est si éloignée de l’intuition et du bon sens que la seule façon de l’aborder est le langage mathématique*.

- Certes, mais ne t’imagine pas me faire oublier par cette diversion que tu as cassé l’ambiance en pétant dans le jacuzzi.

Que je lui répondis, alors qu’elle récidivait. Et c’était vrai... elle avait désespérément cassé l’ambiance. Elle s’appelait Pricilître, c’était une bonne copine de Rosalûtre, mais ses petites louffes sous-marines et sournoises venaient d’avoir raison d’une érection pourtant tenace.

Après une remarque désobligeante sur sa tenue vestimentaire qui tomba lamentablement à plat (du fait qu’elle était entièrement dévêtue), j’entrepris de finir le magnum de champagne. En effet, assommer une femme belle et intelligente étant déjà en soi un acte peu raffiné, je décidai de ne pas en rajouter en gâchant de surcroît, ne serait-ce qu’une goutte de Don Pérignon. Une fois le champagne épongé, je lui éclatai la boutanche sur la gueule pendant qu’elle devisait sur les mérites comparés du monde microscopique selon Albert Einstein et Niels Borh... Je disparu dans la nuit mexicaine après avoir chié dans le jacuzzi rose...”

* c’est un scientifique qui l’a dit.

Je m'aperçois soudain, non sans un certain désoeuvrement que cette version n'est pas l'originale mais une adaptation pour la scène (malencontreusement amputée de ses passages les plus humoristiquement) qui date de l'époque tourmentée (et finalement si...) où cela ne vous regarde de toutes façons pas du tout... Alors soyez gentils, ME GONFLEZ PAS AVEC CE GENRE DE...

En fait, c'est après une large cuite dans un bordel de Mexico que...

Non, en fait, ce que je me disais, c'est : "vous trouverez la version longue et originale de cette nouvelle ICI ( non, je déconne. Je sais pas encore comment procéder pour que... Oh et puis vous m'faites chier, tiens ) !

Tiens, il me vient quelques réflections existentielles dont le monde aurait bien besoin...

PAS VRAI...?

Je m'en vais donc vous en tartiner quelques épaisses couchasses pour le bien de l'humanité dans sa pleine et entière globalité...

Non, ne me remerciez pas et souvenez-vous plutôt de ce que disait le Prince Ibagid Dazagéouad :

"Tout ce que tu as à faire est de vérifier ton pique-nique et d'absorber une grande bouffée d'air frais"...

Ouais, je sais...

Mais je débute en bloguerie, alors j'en fais des caisses avec les couleurs...


TRÔNIC INC.
"Qu'est-ce qu'on rigole !"

One, two, test...?

"Ouain... Et alors...?"
Casimir

TRÔNIC INC.
"Qu'est-ce qu'on rigole !"

MeeAIOUAIIIIS!!!!

Ceci est mon blog.

TRÔNIC INC.

"Qu'est-ce qu'on rigole !"